Travail syndical et influence du PCB au sein de la FGTB liégeoise dans les années 1970-1980 – Séminaire du CHSG

Pour son cinquième et dernier séminaire de l’année académique, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches de l’ULB accueillera ce mardi 7 mai 2019 (18h-20h) le lauréat du Prix du CArCoB 2017, l’historien liégeois Robin Bruyère pour un exposé sur le thème « Travail syndical et influence du PCB au sein de la FGTB liégeoise dans les années 1970-1980 » :

« Crise économique, restructurations d’entreprises et de « secteurs nationaux », grandes vagues de luttes sociales, victoire politique et progression idéologique du néo-libéralisme: les années 1970 et 1980 mettent les forces de gauche à rude épreuve, tant les partis politiques que les organisations syndicales.

Alors que tout prédisait un « lent et inévitable » effondrement du communisme en Belgique des années 1960 aux années 1990, on constate une croissance de l’influence communiste dans les syndicats en région liégeoise durant ces mêmes années. Plusieurs grandes luttes sociales dans le bassin liégeois furent dirigées ou purent compter sur le soutien indéfectible du Parti Communiste et de ses militants syndicaux. Comment expliquer cette influence communiste dans la FGTB? Quel est l’ethos d’un syndicaliste communiste de l’époque, ses modes d’action ? ».

Extrait du rapport du Jury du Prix CArCoB 2017 : « Le travail de Robin BRUYÈRE déploie une problématique et un questionnement d’une très grande ampleur, qu’il aborde au travers d’une enquête minutieuse portant sur les textes et les témoignages. Il donne la parole à ceux qui ne l’ont que rarement et sauve de la sorte la trace d’acteurs de terrain, le plus souvent négligés par l’histoire des organisations. Il définit ainsi des types d’engagements qui varient selon les options politiques et idéologiques et, montre-t-il, également à l’intérieur d’un même parti. Il pose parfaitement l’évolution des générations. Il ose aborder la question d’un « ethos » des militants communistes et en constate la variété. Il établit le lien entre les gens qui pensent et les gens qui font, allant ainsi au cœur de la question : « qu’est-ce que la politique ? ». Son engagement personnel qui affleure sans hypocrisie, ne compromet en rien son analyse. » (Eric Geerkens, promoteur de ce travail de master qui s’est abstenu dans la discussion de ce dossier). 

Comme lors de chaque séminaire, l’exposé sera suivi d’une discussion avec la salle.

L’accès au séminaire est libre et ouvert à tou.te.s.

Lieu : Salle Arthur Doucy, Campus du Solbosch, Institut de Sociologie, bâtiment S, 12ème étage, 44 avenue Jeanne, 1050 Ixelles) : plan

N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous et à inviter vos contacts via vos réseaux sociaux : https://www.facebook.com/events/336109600596770/

Vous trouverez également l’agenda de nos activités sur le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches :  http://chsg.ulb.ac.be/actualites

Une pasionaria rouge, L’extraordinaire destin de Milda Bulle – Conférence CHSG le jeudi 4 avril 2019

Quatrième séminaire du cycle 2019, le jeudi 4 avril 2019 (de 18h à 20h)

Conférence-discussion

Une pasionaria rouge, L’extraordinaire destin de Milda Bulle

(éd. Creaphis, décembre 2018, 127 p., 12 euros). 

avec Christian Bromberger

(anthropologue, professeur émérite à l’université d’Aix-Marseille, ancien directeur de l’Institut français de recherche en Iran et membre de l’Institut universitaire de France).

« Milda est une figure remarquable, aujourd’hui oubliée, de la révolution russe et des premières années du régime soviétique. Partie d’un hameau de Courlande, en Lettonie, devenue militante, puis combattante les armes à la main lors de la guerre civile dans le Caucase, passée par l’Iran pour y enfiévrer une révolution, gradée (elle fut la première, ou une des premières, à porter le titre de Kombrig, équivalent à général de brigade), décorée, apparatchik dans les organes du pouvoir à Moscou, féministe, oratrice, auteure d’ouvrages de propagande, promotrice de la culture, de deux théâtres et d’un opéra, dans la République de Bachkirie (entre la Volga et les monts d’Oural), elle fut en 1938 victime des purges staliniennes. On évoquera les étapes de cette trajectoire tumultueuse, les raisons de l’oubli de ce personnage méconnu, les leçons que l’on peut tirer de cette destinée hors du commun« .

L’accès au séminaire est libre et ouvert à tou.te.s.

Lieu : Salle Henri Janne, Campus du Solbosch, Institut de Sociologie, bâtiment S, 15ème étage, 44 avenue Jeanne, 1050 Ixelles, voir Plan.

Voir aussi l’événement créé sur Facebook pour l’occasion :https://www.facebook.com/events/2027804617331794/. N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous et à inviter vos contacts ainsi qu’à nous suivre sur la page facebook du CHSG : https://www.facebook.com/CentreHistoireSociologiedesGauches/  Le programme complet des séminaires de l’année 2019 est disponible sur notre site internet : http://chsg.ulb.ac.be/actualites

Par ailleurs, veuillez déjà noter dans vos agendas le séminaire organisé par le Groupe de contact FNRS “Travail et émancipation sociale”, sur le thème : « Le travail aujourd’hui : quelles luttes et mobilisations ? Quelles représentations collectives ? Au nom de quoi ? », qui se tiendra le 29 avril 2019, de 14h à 17h30, à l’Université libre de Bruxelles, salle Henri Janne, 15ème étage de l’Institut de Sociologie, 44 avenue Jeanne, 1050 BruxellesEntrée libre.

Séminaire du jeudi 21 mars (18h-20h) : Guillaume DUROU (Québec), « L’exception confirme la force : penser la violence d’État aujourd’hui à partir des expériences ouvrières du 19eme siècle au Québec


Pour son troisième séminaire de l’année, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches de l’ULB a l’honneur d’accueillir, en collaboration avec AmericaS (http://msh.ulb.ac.be/equipes/americas/), le professeur de sociologie Guillaume Durou, de la Faculté Saint-Jean de l’Université d’Alberta, Canada.

En juin 1878, la ville de Québec est le théâtre d’une grève violente provoquant la mobilisation policière et militaire la plus importante depuis les rébellions républicaines de 1837 et 1838. Le chaos qui règne fait craindre alors une Commune. Cet épisode ne fait pourtant pas exception puisque l’État fera appel à l’armée tout au long du 19e siècle afin de préserver l’ordre social. Cette présentation se divise en trois axes. D’abord, il s’agira de proposer une analyse diachronique des grèves et du mouvement ouvrier québécois au 19e siècle en prenant soin d’insister sur les épisodes de violence entre l’État et les travailleurs. Ensuite, en présentant quelques évènements à partir de cas spécifiques, il sera possible de dévoiler une dynamique de la répression intimement liée à la transition au capitalisme canadien. Enfin, nous nous interrogerons sur les violences aujourd’hui à travers le prisme de l’histoire et de la sociologie.

L’accès au séminaire est libre et ouvert à tou.te.s.

Lieu : Salle Arthur Doucy, Campus du Solbosch, Institut de Sociologie, bâtiment S, 12ème étage, 44 avenue Jeanne, 1050 Ixelles : voir Plan).

Voir aussi l’événement créé sur Facebook pour l’occasion : https://www.facebook.com/events/270821627148887/ . N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous et à inviter vos contacts ainsi qu’à nous suivre sur la page facebook du CHSG : https://www.facebook.com/CentreHistoireSociologiedesGauches/

Mardi 12 mars 2019, 18h : projection-discussion « Stan et Ulysse, l’esprit inventif » en présence du réalisateur Benjamin Hennot et de l’historienne Bénédicte Rochet (Université de Namur)

Pour son second séminaire de l’année 2019, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauche vous propose d’assister, le mardi 12 mars (18h-20h), à la projection du film

Stan et Ulysse, l’esprit inventif (de Benjamin Hennot)

(2018 YC ALIGATOR FILM-RTBF-WIP-GSARA)

La projection sera suivie d’un débat avec le réalisateur ainsi que Bénédicte Rochet (historienne, Université de Namur) sur le thème « La Résistance : mémoire criblée, mémoire ciblée ».

Synopsis du film

Bruxelles 1940. André, 16 ans, rejoint Marcel qui en compte 18. Tous deux s’engagent dans un groupe de Résistance très autonome, le Groupe D du Service Hotton, et se rebaptisent l’un Stan, l’autre Ulysse.

En 1942, ils installent un maquis dans la région de Chimay et Couvin. La population les soutient, l’Occupant les craint. Et pour cause : le « sabotage und widerstandgruppe Franckson » multiplie les coups d’éclat.

Attaques de locomotives, incendies de dépôts de bois-carburant, hold-up, duels au revolver, embuscades meurtrières, neutralisation de bourgmestres rexistes, coupures du câble Berlin-Paris, fusils et poudres en tous genres : Stan & Ulysse, l’esprit inventif inaugure au sein du documentaire un sous-genre inédit : le Western-Wallonie de Francophonie (WWF), ou western-documentaire, ou encore tutoriel apache.

Stan et Ulysse nous racontent une aventure qui sent la poudre et le plastic, où la plus noble éthique se mêle à la plus narquoise des ironies.

Entrée GRATUITE – ULB, Maison des Arts, 56 avenue Jeanne, 1050 Ixelles. Cliquez ici pour voir le plan

Lien vers l’évènement Facebook : https://www.facebook.com/events/1076047025912052/

Plus d’informations concernant le film sur le site : https://www.stanetulysse.com/a-propos

Programme des séminaires 2019 du Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches de l’ULB

Veuillez trouver ci-dessous, le détail des cinq séminaires programmés de février à mai 2019.

Premier séminaire du cycle le mardi 12 février (de 18h à 20h)

Avec Esteban Sierra Alvarez (historien, Université libre de Bruxelles)

Les mobilisations en Belgique autour de Sacco et Vanzetti.

(l’exposé sera suivi d’une discussion avec la salle)

Sacco et Vanzetti sont deux ouvriers anarchistes italo-américains, accusés à tort de crime (ils seront réhabilités en 1977 par la justice américaine) dans un climat de xénophobie et de chasse aux révolutionnaires. Ils sont condamnés à mort mais des actions de solidarité s’organisent pour eux dans le monde entier. En Belgique, cette solidarité ne parvient pas à être unitaire: la gauche, fraîchement recomposée à la suite de la Révolution russe, dévoile à travers cette affaire ses divisions et agit en ordre dispersé. Sacco et Vanzetti passent à la chaise électrique le 23 août 1927.

L’entrée au séminaire est libre et ouvert à tou.te.s. Il se déroulera à la Salle Arthur Doucy, Campus du Solbosch, Institut de Sociologie, bâtiment S, 12ème étage, 44 avenue Jeanne, 1050 Ixelles : voir Plan).

Publication – Retour sur Marcinelle, Anne Morelli et Nicolas Verschueren (dir.), Bruxelles, Couleur Livres, 2018,

Anne Morelli et Nicolas Verschueren (dir.), Retour sur Marcinelle, Bruxelles, Couleur Livres, 2018, 18 euros.

Un retour sur Marcinelle?

Oui, il faut faire retour à Marcinelle.

Pour réviser le concept commode de « catastrophe » qui induit une connotation de fatalité, voire d’erreur humaine, qui aseptise et dépolitise le crime.

Pour contester la tradition -inexacte- selon laquelle Marcinelle -qui a tout au plus accéléré des réformes en chantier- aurait déclenché d’importantes améliorations de la législation sur la santé et la prévention des accidents au travail. Continue reading

Réédition !! José Gotovitch, Du rouge au tricolore : Les communistes belges de 1939 à 1944, avec le soutien du Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches.

Le  CArCoB vous offre la possibilité d’acquérir la réédition du livre de José Gotovitch « Du Rouge au Tricolore. Les Communistes belges de 1939 à 1944. Un aspect de l’histoire de la Résistance en Belgique », Bruxelles, éditions du CArCoB, 2018, 740 pages – ainsi que le précédent ouvrage de l’auteur « Du communisme et des communistes en Belgique. Approches critiques », Bruxelles, éditions Aden, 2012, 436 pages – le tout au prix de 30€ + 5,50€ de frais de port.

Vous pourrez retrouver toutes les informations concernant ces ouvrages sur la librairie en ligne du CArCoB ainsi qu’y passer commande : http://carcob.eu/-En-vente-au-CArCoB-6-

Vous pouvez également écouter  l’interview donnée par José  Gotovitch à propos de son livre, dans l’émission Un Jour dans l’Histoire (Rtbf La Première, interview par Nicolas Bogaerts) la réédition deL’émission est disponible en podcast sur Auvio
https://www.rtbf.be/auvio/detail_un-jour-dans-l-histoire…

Conférences-débats – projections – exposition : « Refaire Mai 68 ? Héritages et actualité »

« Refaire Mai 68 ? Héritages et actualité »
2, 7 et 8 mai 2018, Université libre de Bruxelles, campus du Solbosch

En mai 2018 l’ULB fête les 50 ans de Mai ’68 !!

Le « Mai ’68 » belge s’est essentiellement déroulé à l’ULB. 50 ans plus tard, l’Université libre de Bruxelles commémore l’événement par des projections, des débats, des témoignages et une exposition. Sans oublier l’intervention des organisations étudiantes actuelles qui se posent la question de cet héritage, encombrant ou stimulant  ?

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PROGRAMME COMPLET ET INFORMATIONS PRATIQUES

Mercredi 2 mai, à 18h : Projection-débat et vernissage de l’exposition – bât NB, local VIS-2

  • Projection de « Libre examen 68 » (Luc de Heusch), présenté par Muriel Andrin (ULB) et Pierre Petit (ULB), avec le concours de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Fondation Henri-Storck.
  • Débat sur le film animé par Eddy Caekelberghs
  • Vernissage de l’exposition du Département des Bibliothèques et de l’Information scientifique.

Lundi 7 mai, à 18h : Soirée d’ouverture – Auditoire DC2.223, Avenue Depage

  • Introduction générale « Refaire Mai 68 ? Héritages et actualité » par Sophie Béroud (Université Lumière Lyon-2 – Triangle)
  • Projection films – « Grands soirs et petits matins » de William Klein + « Reprise aux usines Wonder » (9 minutes)

Mardi 8 mai, de 9h à 19h : Conférences et tables rondes – Grand Hall du Bâtiment A

→ 9-10H30 : « Fragments d’une histoire »

  • Paul Goossens (Journaliste, leader étudiant au moment de l’ « Affaire de Louvain » en 66 ), « Le Mai 68 à Louvain » ;
  • Rik Hemmerijckx (Historien, Conservateur Musée Emile Verhaeren) « Mai 68 et les luttes ouvrières en Belgique » ;
  • Serge Govaert (Administrateur au CRISP, auteur de « Mai 68. C’était au temps où Bruxelles contestait »)  « Mai 68 en Belgique : le monde des artistes et des écoles d’art »

→ 10H45–12H15 : « Mai 68 : Quelles ruptures ? Quels héritages ? » avec Valérie Piette (luttes des femmes), Mateo Alaluf (évolution du salariat), Marie-Thérèse Coenen (éducation permanente et liens universités-syndicats), Herwig Lerouge (impact politique)

→ 14H-15H30 : « Sens et contre-sens »

  • Judith Revel (Université Nanterre, Paris) « La récupération néo-libérale de Mai 68 »
  • Cécile Vanderpeelen (ULB, CIERL-MMC) « Contribution à une histoire matérielle : Mai 68 raconté par les objets »

→ 15H45-17H15 : « Des témoins racontent » – Table ronde avec Marco Abramowicz, Hugues Le Paige, Maxime Tondeur, Nine Muret. Modération : Claire Billen.

→ 17H15-18H45 : « Quels héritages de Mai 68 pour les organisations étudiantes aujourd’hui ? » – Table ronde avec un.e représentant.e de chaque organisation étudiante présente à l’ULB (USE, COMAC, EGA, ECOLO-J, BEA, Cercle féministe). Modération : Librex

Informations pratiques
PAF : accès libre
Contact : institut.liebman@ulb.ac.be – 0032(0)2/650.33.86
Site internet : http://chsg.ulb.ac.be

Evènement facebook

Journées des 7 et 8 mai organisées par :
– Le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG)
– L’Institut Marcel Liebman
– L’Union syndicale étudiante
– L’Association culturelle Joseph Jacquemotte (ACJJ)
– Le Centre des archives des communismes en Belgique (CArCoB)
– Le Centre d’Animation et de Recherche en Histoire Ouvrière et Populaire (CARHOP).
 
Avec le soutien de :
– L’Université Libre de Bruxelles
– La Faculté de Philosophie et Sciences sociales
– La Commission culturelle (ULB)

Chaire Marcel Liebman, « 50 ans après mai 68 » (du 19 au 22 mars 2018)

L’Institut Marcel Liebman et la Faculté de Philosophie et Sciences sociales de l’ULB

ont l’honneur de vous inviter à la

Chaire Marcel Liebman

« 50 ans après mai 68 »

Une histoire qui reste à explorer

par

Henri REY
Directeur de recherche au Cevipof – Sciences po, Paris

affiche Liebman 2018 - DEF-page-001

Leçon inaugurale – Lundi 19 mars 2018 à 18h30

« Les faits, les interprétations »

ULB – Campus du Solbosch – Bâtiment U, Porte A, 2e étage, auditoire 114 (UA2.114)

PLAN

La Chaire Marcel Liebman a été créée en 1986 afin de pérenniser un enseignement de l’histoire du socialisme et des théories politiques, sociales et économiques dans la perspective critique qui fut celle de Marcel Liebman.

Chaque année, la Chaire est ouverte à un professeur invité.

L’invitation, à l’occasion du 50e anniversaire de Mai 68 de Henri REY, spécialiste de l’étude des comportements politiques et qui a codirigé le Dictionnaire de Mai 68 (Hachette) s’inscrit bien dans les objectifs de la Chaire. 

 

Autres leçons de la Chaire Marcel Liebman par Henri REY :

Mardi 20 mars (18-20h) : Des scènes multiples, des révoltes planétaires (H1301)

Mercredi 21 mars (18-20h) : L’usine, l’université, la rue (H1301)

Jeudi 22 mars (18-20h) : Des vies ultérieures ? Lesquelles ? (H1301)

ENTREE LIBRE

Pour tout renseignement : Institut Marcel Liebman, 02/650 33 86 – institut.liebman@ulb.ac.be – Affiche ci-joint.