Du 2 au 4 novembre 2017 !! Colloque international « 1917-2017 : Espoirs, utopies et héritages de la Révolution russe »

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Programme (version téléchargeable en pdf)

(Système de traduction simultanée français-anglais)

Jeudi 2 novembre 2017 : Séance d’ouverture

16h : Accueil des participants

16h30 : Discours introductifs par Alexander Rabinowitch (Indiana University) : « The Bolsheviks Come to Power Revisited : Centennial Reflections » et Enzo Traverso (Cornell University) : « Entre utopie et mélancolie : le siècle des révolutions »

18h30 : Verre de l’amitié – Soirée festive – Chorale Brecht-Eisler de Bruxelles

Vendredi 3 novembre 2017 

8h30 : Accueil des participants

9h00 – 11h : Panel 1 – Nouvelles approches historiennes : La révolution russe vue d’en bas (Partie I) – présidence de séance : Guy Van Sinoy (Formation Leon Lesoil)

  • Eric Aunoble (Université de Genève) : « Des parcours plébéiens dans la révolution, de l’utopie à la bureaucratie»
  • David Mandel (UQAM) : « The Legacy of the October Revolution»

11h – 11h15 : Pause-café

11h15 – 13h15 : Panel 2 – Nouvelles approches historiennes : La révolution russe vue d’en bas (Partie II) – présidence de séance : Samia Beziou (ULB)

  • Simon Pirani (Oxford Institute of Energy Studies) : « Workers and the Soviet state : lessons from the 1920»
  • Jeffrey Rossman (University of Virginia) : « What Did Russian Workers Want? Interpreting 1917 from the Perspective of the Stalinist 1930s»

13h15 – 14h : Pause-déjeuner

14h00 – 16h : Panel 3 – Actualité de la révolution russe – présidence de séance : Jean-Michel De Waele (ULB)  

  • Jean-Jacques Marie (CEMTRI) : « La révolution russe relève-t-elle d’un passé révolu ou appartient-elle toujours au présent ?»
  • Kevin Morgan (University of Manchester) : « From Lenin to Leninism, and the cult of the individual»

16h – 16h15 : Pause-café

16h15 – 18h15 : Panel 4 – Influence de la révolution russe sur les mouvements ouvriers – présidence de séance : José Gotovitch (CarCob)

  • Samia Beziou (CHSG) : « Les soviets vus de Belgique, des tranchées à L’Exploité »
  • Francine Bolle (ULB) : « La réception et l’influence de la révolution russe dans les milieux syndicaux en Belgique pendant la période de l’Entre-deux-Guerres »
  • Stefanie Prezioso (Université de Lausanne) : « Italie : les quatre années rouges»

Samedi 4 novembre 2017

8h30 : Accueil des participants

9h – 11h15 : Panel 5 – Influence de la révolution russe sur les mouvements nationaux et anticoloniaux – présidence de séance : Jean Vogel (ULB)

  • Hanna Perekhoda (Université de Lausanne) : « Quelle révolution pour un peuple opprimé ? Débats et combats en Ukraine révolutionnaire (1917 – 1922) »
  • Matthieu Renault (Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis) : « Traduire la révolution en Orient (1919-1924»
  • Catherine Samary (Université Paris-Dauphine) : « Le souffle d’Octobre dans la semi-périphérie yougoslave»

11h15 – 11h30 : Pause-café

11h30 – 13h15 : Panel 6 – Utopies portées par la révolution russe – présidence de séance : Daniel Tanuro (Formation Léon Lesoil)

  • Laure Després (Université de Nantes), « Le Communisme de guerre, entre stratégie désespérée et utopie anti-chrématistique »
  • Fabien Bellat (Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles) : « Bâtir l’utopie : les villes neuves soviétiques»
  • Laurence Roudart (ULB) : « La question agraire à l’épreuve de la Révolution russe »

13h15 – 14h : Pause-déjeuner

14h- 16h : Panel 7 – Contre-culture dans la révolution russe (arts – cinéma)  – présidence de séance : Laurent Vogel (ULB)

  • Patrick Leboutte (INSAS) : « Pour un cinéma libre de droit et propriété de tous : du ciné-train à l’expérience collective des groupes Medvedkine »
  • Lionel Richard (Université de Picardie Jules-Verne) : « Les producteurs artistiques en mouvement – initiatives européennes en opposition à la culture dite ‘bourgeoise’ »

16h – 16h15 : Pause-café

16h15-18h00 Panel 8 – La vie nouvelle (condition de la femme, pédagogie, « vie nouvelle ») – présidence de séance : Anne Morelli (ULB)

  • Mario Alessandro Curletto (Università degli Studi de Genova) : « Du football bourgeois au football soviétique» (sous réserve)
  • Louise Gotovitch (enseignante) : « Makarenko pour une pédagogie révolutionnaire»
  • Cyliane Guinot (Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne) : « La naissance de la ‘Femme Rouge’ : discours et expériences en Russie post-révolutionnaire»
  • Sébastien Antoine (UCL-Mons) « Échos de la Révolution russe dans le programme d’histoire de Belgique francophone »

18h-18h30 : Clôture du colloque – Mateo Alaluf (ULB)

POUR INFO !!

 


INFORMATIONS PRATIQUES ET INSCRIPTIONS

  • Lieu : Maison du Peuple de Saint-Gilles, Parvis de Saint-Gilles, 1060 Bruxelles. Plan ici
  • Accès : A dix minutes à pied de la Gare du Midi –  STIB : Tram 3, 4 ou 51 Station Parvis de Saint-Gilles – Métro lignes 2 et 6 – Station Porte de Hall – Bus 48 – Arrêt Parvis de Saint-Gilles.
  • Participation aux frais :
    • Séance d’ouverture (jeudi) : 5 euros (prix unique)
    • Par jour (vendredi ou samedi) : 10 euros – 5 euros (étudiants-chômeurs)
    • Pass pour les 3 jours (uniquement en prévente) : 15 euros
  • Préventes : verser la somme (en indiquant en communication : Nom, Prénom, jour(s) de participation) sur le compte BE44 3630 6368 1045 au nom de « Colloque 1917-2017 »
  • E-mail : colloque1917@gmail.com – Tel : 0032(2)650.33.86
  • Facebook : https://www.facebook.com/events/1839907326266827/
  • Vente de sandwichs et boissons sur place à midi ;
  • Tables de presse.
  • Système de traduction simultanée prévu (avec casque) pour les exposés en Anglais

COLLOQUE ORGANISE PAR :

AVEC LE SOUTIEN DE :

  • Association des amis de Jost Steiger (Lausanne)
  • Faculté de Philosophie et Sciences Sociales de l’ULB
  • FGTB fédérale
  • Fonds national de la Recherche scientifique (FNRS)
  • Université populaire de Bruxelles

Vient de sortir en librairie !! Emancipation et recherche en éducation

Cet ouvrage collectif, dirigé par Dominique Broussal et Jean-François Marcel, contient notamment un article -chapitre 7- sur les Colloques Penser l’Emancipation (l’édition bruxelloise de 2016, a été coorganisée avec le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches, l’article est rédigé par une de ses membres et co-organisatrice du colloque, Francine Bolle). Nous en profitons aussi pour vous annoncer que la quatrième édition des colloques Penser l’Emancipation se déroulera du 13 au 16 septembre 2017 à l’Université Paris 8 ! La présentation complète de l’ouvrage est  disponible ici en pdf : flyer-ERE ou ci-dessous en image. Pour commander l’ouvrage, cliquez sur ce lien : éditions du Croquant

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« La présence communiste dans les entreprises belges de l’après-guerre », Séminaire CHSG, mardi 30 mai à 18h

Comme chaque année, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG) de l’ULB organise en 2017 une série de séminaires, ouverts à tous.

Le mardi 30 mai 2017, de 18h à 20h, nous accueillerons Adrian Thomas (Master en Histoire, ULg) qui nous propose un exposé (suivi d’une discussion avec la salle) sur « La présence communiste dans les entreprises belges de l’après-guerre » :

« Le 23 mai 1948, Edgar Lalmand, n° 1 du Parti communiste de Belgique (PCB), soupire, affligé, à son Comité central désorienté : « Dans l’histoire de notre Parti, même aux jours les plus sombres, les militants du Parti communiste n’ont jamais manifesté à l’égard du mouvement syndical une telle indifférence ». Trois semaines plus tôt, la Fédération Générale du Travail de Belgique (FGTB) réunie en congrès s’était résolue à démettre tous les permanents syndicaux communistes des instances dirigeantes du syndicat. Ce mouvement, enclenché depuis plusieurs mois, se généralise en province : presque tous les syndicalistes membres du Parti communiste perdent leur(s) mandat(s) dans l’année 1948. Cette FGTB, que les communistes avaient cofondée à peine trois ans plus tôt en obligeant les socialistes à les rejoindre par fusion de leurs dissidences, s’était retournée contre eux. Retour à la situation antebellum, où le PC était perçu par presque tous comme un paria de la classe ouvrière, un parti de l’étranger qu’il fallait absolument tenir à distance. Pourtant, rien n’était joué durant ces années méconnues d’immédiat après-guerre où jamais des révolutionnaires n’eurent autant d’influence en Belgique. »

Une présentation synthétique des conclusions de son mémoire de Master est disponible sur le lien suivant: http://www.ihoes.be/PDF/IHOES_Analyse155.pdf

Le séminaire se déroulera à la salle Arthur Doucy, 12ème étage de l’Institut de Sociologie (Bât.S, local 12.123), ULB, 44 avenue Jeanne, 1050- Bruxelles). Entrée libre.

L’annonce du séminaire est disponible sur le site du Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches  ainsi que sur la nouvelle page facebook du CHSG : https://www.facebook.com/events/815816591907328/

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« Le droit à la paresse, programme de Gauche ? » Séminaire CHSG, mardi 9 mai à 18h

Comme chaque année, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG) de l’ULB organise en 2017 une série de séminaires, ouverts à tous.

Le mardi 9 mai 2017, de 18h à 20h, nous accueillerons Michel Majoros (Historien, chercheur et auteur du Droit à la paresse vu de Belgique, un siècle de renoncements et d’espoirs, à paraître) qui nous propose un exposé (suivi d’une discussion avec la salle) sur la question du « droit à la paresse » hier et aujourd’hui, vu de Belgique :

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« Suite logique du Capital de Marx, le texte de Paul Lafargue Le droit à la paresse, positive la paresse et l’érige en droit naturel. Or, la doxa de gauche entend convertir sa base sociale, les travailleurs, au prosélytisme du travail, valeur quasi- religieuse partagée avec la droite.

Depuis l’instauration légale des 8 heures, les avancées sur le temps de travail – congés payés, réduction de la durée hebdomadaire du travail, etc.– résultent de mouvements inattendus, jusqu’à l’insoumission, comme le réfractariat sous l’occupation, la désertion des ateliers lors de l’hiver 1960-61, et depuis 68, des allergies au travail, des précarités revendiquées, des expressions artistiques qui chantent la paresse gratuite, alors que le marché s’empare du temps libéré. Aujourd’hui, la croissance montre ses impasses, le fanatisme du travail s’écroule en burn-out planétaire.

Est-il possible de construire une histoire sociale qui inclue le droit à la paresse ? Un programme politique qui résiste, avec une créativité alternative, aux saccages du productivisme ? »

Le séminaire se déroulera à la salle Arthur Doucy, 12ème étage de l’Institut de Sociologie (Bât.S, local 12.123), ULB, 44 avenue Jeanne, 1050- Bruxelles). Entrée libre.

Un dernier séminaire est prévu au printemps 2017 (mêmes heures, même local), le mardi 30 mai 2017, de 18h à 20h, avec Adrian THOMAS (Master en Histoire, Ulg) sur le thème de « La présence communiste dans les entreprises belges de l’après-guerre »

L’annonce du séminaire est également disponible sur la nouvelle page facebook du CHSG : https://www.facebook.com/events/1543858735692750/

Texte de présentation et appel à contribution – Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier en Belgique

Le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches participe -avec le Carhop, le CarCob, La Fonderie Asbl, le Mundanéum– au projet du Dictionnaire du mouvement ouvrier en Belgique en ligne et sur papier (soutenu par le FNRS). Une présentation du dictionnaire et un appel à contribution vient de paraître dans la revue en ligne « Contemporanea » de l’Association belge d’Histoire contemporaine. N’hésitez pas à partager ce lien et à nous contacter pour vos propositions de contributions ou de témoignage. L’article est consultable (et téléchargeable) via le lien suivant: http://www.contemporanea.be/nl/article/2017-1-geschiedenis-online-dbmob

 

“Qu’est devenue la Gauche israélienne aujourd’hui ?”, Thomas VESCOVI (Paris VIII), conférence – 28 mars – ULB

Comme chaque année, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG) de l’ULB organise en 2017 une série de séminaires, ouverts à tous.

Le premier de ces séminaires se tiendra le mardi 28 mars 2017, de 18h à 20h, et portera sur le thème suivant :

 » Le soutien de l’URSS à la création d’Israël en 1948 montre à quel point cet Etat incarnait un espoir pour les gauches européennes au Moyen-Orient. Entre le mythe des kibboutz et l’espoir d’un socialisme oriental, la gauche israélienne n’est jamais parvenue à transformer ces espérances en réalité concrète. Loin d’avancer en bloc homogène, la gauche israélienne a cependant été au cœur des principaux actes de rapprochement avec le voisin palestinien. De l’échec du processus d’Oslo à l’hégémonie politique de Benjamin Netanyahu, en passant par la Seconde Intifada et la montée des mouvements d’extrême droite, les progressistes israéliens ne semblent plus en capacité de peser politiquement.

Qu’en est-il réellement ? Qu’est-ce qu’être de gauche en Israël aujourd’hui ? Comment les fractures du passé impactent les discours politiques de la gauche israélienne aujourd’hui ? »

Thomas Vescovi (diplômé de Paris VIII), dont les travaux de recherche portent sur le Proche-Orient, est un bon connaisseur de la société juive israélienne et nous proposera des éléments de réponse à ces questions.

Le séminaire se déroulera à la salle Arthur Doucy, 12ème étage de l’Institut de Sociologie (Bât.S, local 12.123), ULB, 44 avenue Jeanne, 1050- Bruxelles). Entrée libre.

Deux autres séminaires sont prévus en 2017 :

– Mardi 9 mai 2017, de 18h à 20h :  Michel MAJOROS, « Le droit à la paresse, programme de gauche ? « 

– Mardi 30 mai 2017, de 18h à 20h : Adrian THOMAS (Master en Histoire, Ulg), « La présence communiste dans les entreprises belges de l’après-guerre »

(voir affiche ci-dessous)

Le CHSG a désormais sa propre page Facebook, n’hésitez pas à nous suivre…

Séminaires2017Fin

Projection du film « Oltremare » de Loredana Bianconi – lundi 27 mars à 19h – Institut italien de culture

Le film est en italien, sous-titré en anglais

« On sait assez généralement que le Congo a été belge et l’Algérie française.
Mais les colonies italiennes sont très méconnues. Pourtant l' »empire » colonial italien s’étendit en Afrique, dans les années 1930, à la Somalie, l’Erythrée,, la Libye et l’Abyssinie (Ethiopie).
Mussolini promettait d’y envoyer des millions de colons italiens, entreprenants et dévoués au fascisme.
Le film « Oltremare » de Loredana Bianconi, nous emmène sur les traces d’un secret familial, à travers la correspondance d’un oncle effectivement parti en Erythrée et en Ethiopie, mais pour éponger ses dettes plus que par foi politique.
A travers le récit de témoins , des films et des photos d’époque, c’est l' »âge d’or  » (pour les Italiens au moins !) d’Asmara et Massawa qui resurgit.
Au-delà de la nostalgie, la réalisatrice fait revivre de manière nuancée une réalité qui a touché tant de familles italiennes mais qui est frappée aujourd’hui d’amnésie.

Le film (en italien, sous-titré en anglais) sera précédé d’une courte introduction (en italien) d’Anne Morelli sur les colonies italiennes et suivi d’un échange avec la salle.

Adresse : Institut italien de culture, 38 rue de Livourne

Lien vers l’annonce sur le site du Centre italien de la culture pour plus d’informations.

“Qu’est devenue la Gauche israélienne aujourd’hui ?”, Thomas VESCOVI (Paris VIII), Séminaire

Comme chaque année, le Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches (CHSG) de l’ULB organise en 2017 une série de séminaires, ouverts à tous.

Le premier de ces séminaires se tiendra le mardi 28 mars 2017, de 18h à 20h, et portera sur le thème suivant :

 » Le soutien de l’URSS à la création d’Israël en 1948 montre à quel point cet Etat incarnait un espoir pour les gauches européennes au Moyen-Orient. Entre le mythe des kibboutz et l’espoir d’un socialisme oriental, la gauche israélienne n’est jamais parvenue à transformer ces espérances en réalité concrète. Loin d’avancer en bloc homogène, la gauche israélienne a cependant été au cœur des principaux actes de rapprochement avec le voisin palestinien. De l’échec du processus d’Oslo à l’hégémonie politique de Benjamin Netanyahu, en passant par la Seconde Intifada et la montée des mouvements d’extrême droite, les progressistes israéliens ne semblent plus en capacité de peser politiquement.

Qu’en est-il réellement ? Qu’est-ce qu’être de gauche en Israël aujourd’hui ? Comment les fractures du passé impactent les discours politiques de la gauche israélienne aujourd’hui ? »

Thomas Vescovi (diplômé de Paris VIII), dont les travaux de recherche portent sur le Proche-Orient, est un bon connaisseur de la société juive israélienne et nous proposera des éléments de réponse à ces questions.

Le séminaire se déroulera à la salle Arthur Doucy, 12ème étage de l’Institut de Sociologie (Bât.S, local 12.123), ULB, 44 avenue Jeanne, 1050- Bruxelles). Entrée libre.

Deux autres séminaires sont prévus en 2017 :

– Mardi 9 mai 2017, de 18h à 20h :  Michel MAJOROS, « Le droit à la paresse, programme de gauche ? « 

– Mardi 30 mai 2017, de 18h à 20h : Adrian THOMAS (Master en Histoire, Ulg), « La présence communiste dans les entreprises belges de l’après-guerre »

(voir affiche ci-dessous)

Le CHSG a désormais sa propre page Facebook, n’hésitez pas à nous suivre…

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